- 63- . La femme, comme l'homme, a l'obligation de l'allumage, car elle a été directement concernée par le miracle (par. 82).
-Elle peut en cas de besoin en acquitter d'autres;
-Chez elle, elle peut allumer et rendre quitte son mari même s'il n'est pas là pour écouter la brakha;
-Si elle procède à l'allumage le premier soir, elle dit aussi Chééhianou, et lorsque son mari allumera le deuxième soir, il ne reviendra pas sur cette bénédiction, bien que lui-même n'ait pas encore effectué d'allumage (voir par. 73).
Une femme veuve, ou divorcée, qui allume chez elle, si elle ne sait pas dire les bénédictions, quelqu'un d'autre peut les dire pour elle, même s'il a déjà allumé pour lui-même, et l'allumage peut se faire par l'un ou l'autre.
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